Collection Homme – Femme. Phil &Amp; Iris. Voyage De Noces Aux Caraïbes. (3/3)

Nous roulons sur le sable enlacer avant de retrouver nos esprits.

• Nos maillots ?

C’est à ce moment de notre soirée que nous nous apercevons que la mer ayant montée, le ressac à emporter les trois pièces de nos deux maillots.
Ils sont partis rejoindre les côtes françaises.
La mer montante, nous les a volées, à qui pouvons-nous nous plaindre, à la police de l’île ?
Demain, je me vois mal aller au commissariat faire cette déclaration !

« Monsieur le policier de la police de la Jamaïque, nous avons baisé sur votre plage en face de notre bungalow et la mer s’est tirée avec nos maillots.
Pouvez-vous-nous les retrouver. »

J’aurais l’air bête pour éviter de dire con, surtout sa réponse est celle-là !

« Comment, vous avez fait crac-crac sur notre plage au clair de lune qui plus est ?
Voyons le tarif de nos amendes. »

Alors, c’est dans les bras l’un de l’autre que nous retournons chez nous.
Nous croisons un couple d’une quarantaine d’années qui comme nous se promène au clair de lune.
La lune me montre le regard étonné de notre nudité.
Nous rentrons dans notre chambre.

À la lumière, je vois que nous sommes recouverts de milliers de grains de sable.
Je la lave, elle me lave.
Elle me suce, je la sèche et je lui fais un cunnilingus trouvant encore quelques grains de sable croquant sous mes dents.
C’est dans un magnifique 69 que nous prenons notre plaisir bien moins fort, que sur la plage.
Après une nuit réparatrice, je suis d’attaque de bonne heure alors qu’Iris est du genre lézard.
Je me rends à l’accueil, une dame est là, elle me dit vaguement quelque chose.
• Serait-il possible de louer une voiture ?
• Oui, monsieur, je m’occupe de vous après cette dame.
• Inutile, c’est monsieur que je voulais que vous me disiez ou je pouvais le rencontrer.

Un moment, je retiens mon souffle, je sais que je suis beau gosse, mais tout de même.



• Vous donnerez ceci à votre dame, je pense qu’elle l’a perdu.
Je m’excuse, son haut et votre maillot doivent voguer vers d’autres cieux.

Nous éclatons de rire, elle quitte l’accueil.

• Hier, j’ai vu des Méhari de location, le long des routes, est-il possible d’en louer une.
• Je vous fais les papiers pour la journée, il y en a plusieurs sur le parking, il me faut votre permis de conduire.

Demain retour à notre chez-nous avant de repartir pour notre deuxième séjour.
C’est dans les autres maillots que nous avions apporté que nous roulons cheveux au vent.
Nous passons voir Usain Bolt, du moins son village natal.
La patronne nous a préparé un panier pick nique et c’est sous les cocotiers que nous déjeunons.
On peut penser que nous sommes de vrais lapins, mais fort de la nuit dernière et du sable s’étant glissé partout, je la pénètre ses seins posés sur le capot de la Méhari.
J’ai simplement écarté son bas de maillot, si nous perdons ceux-là, il nous faudrait de nouveau nous promener nue.

Quand nous sommes partis de bonne heure, nous voulions éviter de passer la journée avec Caroline et Gilbert.
Je voulais éviter de savoir si Gilbert avait trouvé sa Caroline se faire le serveur et s’il avait apprécié le spectacle.
Ou sont-ils passés ?

Devant la maison de la star du moment, un couple comme nous prend des photos.

• Le monde est petit, messieurs-dames.
Iris, c’est le couple que nous avons croisé la nuit dernière et c’est cette dame qui a retrouvé ton maillot.
• Hubert, dans la lumière, j’aurais eu du mal à vous reconnaitre, heureusement ma femme Clotilde est très physionomiste.
Vous visitez l’île, dommage si nous avions su nous aurions fait voiture commune.

Mon premier réflexe, c’est de me dire.
« Encore des emmerdeurs. »
Mais non, juste un cocktail de jus de fruits, sans alcool pour nous et planté pour eux, donc, du rhum dont nous avons vu de nombreux champs tout au long de notre route.

Champs de café et bananiers, sans oublier quelques plantations d’ananas.
Le soir, je pense qu’au barbecue prévu sur la terrasse avant la soirée reggae, nous retrouverons Carolie et Gilbert.
Tenue tergale avec chemisette blanche, mocassins et pull Lacoste jeté sur mes épaules pour moi.
Robe à fleurs pour elle assez ample sur le bas.
Je l’ai déjà vu danser avec elle sur son dos, l’été dernier et à certain moment tous ont pu voir le string qu’elle portait.

Arrivé sur place, nous voyons des mains ce lever, la salope et son cocu de mari !
Non, Clotilde et Hubert assis à une table.

• Vous vous installez avec nous, nous sommes en retard d’un cocktail.

Comment refuser, surtout qu’un coup d’œil sur les clients, aucune salope et cornés autour de nous ?
Au barbecue un couple, le serveur baisant Caroline et cette femme, je l’ai déjà vu.
À oui, c’est une des femmes qui font le ménage dans nos bungalows le matin lorsque nous l’avons quitté.
Je l’ai vu ce matin rentrer dans celui de nos amis brillant par leur absence.
Repas sympa, le couple de fonctionnaires du continent, sont là eux aussi en voyage de noces.
Un détail entre nos deux couples, Clotilde est enceinte de presque quatre mois.
L’orchestre qui jouait des musiques locales, entame une lambada.

• Tu permets que je t’emprunte Iris, j’adore danser la lambada.

Bien sûr que je permets, même si le sexe d’Hubert frotte dangereusement celui d’Iris.
C’est drôle ces réactions dès qu’un homme s’approche trop près de la femme de ma vie.
Bon, il me la rend et comme la danse suivant est un rock, c’est moi qui fais voir à toute l’assistance qu’Iris a une jolie culotte rose.
Incongruité de la situation.
Lui, je serre les poings, moi, je la fais virevolter de plus en plus vite, de plus en plus haut et montrant sa clotte de plus en plus souvent.
La soirée se termine, nous échangeons nos phones avec nos nouveaux amis et nous rejoignons notre chambre.

Demain c’est le retour, mais les sexes qui se frottaient m’ont excité et c’est en levrette sur notre lit qu’une dernière fois, en Jamaïque, nous faisons l’amour.
Après l’avoir prise en levrette comme elle aime, de fatigue, je la fait se coucher venant derrière elle.
Je bande suffisamment pour la pénétrer par l’arrière.
Nous aimons beaucoup cette position car ma main peu passer devant elle empoignant soit ses seins, soit titillant son clito.
Partant dans un délire sexuel finissant en apothéose par un orgasme pour elle et quelques gouttes de sperme partant du fond de mes reins pour moi.
Ce séjour aura été une suite de situations intenses.
Mais surtout amour fusionnel entre nous.
Jamaïque adieu, Venise bonjour dans quelques heures.

Taxi, enregistrement de nos bagages.
Nous prenons nos places dans l’avion.
Plusieurs rangs devant nous je vois Gilbert.
Que fait-il là, seul ?
Ils nous avaient informés être à la Jamaïque pour une semaine.

• Gilbert, tu es seul, Caroline, ou est-elle ?
• Cette salope, elle roucoule avec la femme de chambre.
• La femme de chambre, j’hésite à comprendre !
Tu la cherchais l’autre soir, elle était avec cette belle Jamaïcaine qui faisait le ménage dans les bungalows ?
• Non, ce soir-là, après t’avoir croisée, je suis rentrée, elle était là sur son lit, nue.
Nous avons fait l’amour comme nous le faisions régulièrement.
Hier matin, je faisais un jogging sur la plage, je me suis arrêté, car dans l’eau j’ai trouvé un haut de maillot de femme qui flottait.
Il ressemblait à celui d’Iris, dit moi que vous avez été baiser sur la plage et que la marée vous l’a piqué.
J’ai entendu une voiture passer sur la route, levant la tête je vous ai vu dans un méhari comme ils en louent ici.
Je suis rentrée et c’est là que je les ai surpris chacune suçant la chatte de l’autre.
Elles se sont levées, se sont habillées et depuis plus de nouvelles.

Je l’ai attendu toute la journée sans sortir espérant son retour.
J’ai appelé l’aéroport, cette place était libre, je rentre en France pour divorcer, ça fait de nombreuses fois que je suis cocu, jamais avec une femelle.

Je sens toute la rancoeur que peut ressentir Gilbert.
Je lui tape sur l’épaule et je rejoins Iris, on va décoller, il me faut m’attacher.
Les frasques de sa femme sont les siennes, moi je suis confiant d’Iris, entre nous c’est pour la vie.
Posez en France, nous le voyons sa valise en main, il semble avoir vieilli d’un nombre impressionnant d’années ,avec ses épaules tombantes.

La vie tourne, Jamaïque adieu, dans quelques heures à nous Venise.

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